Un Halbreich de poésies

Un soupir

Comme sur le dos d'une plume

Qui s'est posé

C'est la flamme qui vivait dans ton oeil

Dans un tire d'aile

Nonchalant

Sans la fraction

D'un regret souterrain

Sans l'attraction

Terrestre

Qui nous détient

Elle est partie

S'infiniser

Dans la parfaite

Intimité

Vers l'élément mystère

La lumière

Qui habitait tes yeux

A la porte restante 

De ton âme

Brille maintenant de concert

Avec l'intemporel réseau

La pluie tombe graduellement

Tout autour de ton lit

De la cuisine une odeur

Une douceur

C'est le malheur qui s'incline

Suis-je donc si mauvais

Que quand j'embrasse

L'on trépasse

A l'endroit de ton coeur

Bientôt s'étiole

Une rose d'un jour