Un Halbreich de poésies

Un Halbreich de poésies

Rouge

Un hurlement à l'infini

Je ne viens de rien

Nulle part m'habite follement

Je suis le cauchemar

Réincarné dans le rêve du désir

Je suis le hurlement de la vie

Dans sa forme visuelle

Je ne suis rien

Car l'éternité toute entière

Ne peut me contenir

La négation de l'obscur c'est moi

Je mords toujours jusqu'au sang

Je suis la vie

Car je rends à sa pérennité perpétuée

Le sang toujours

                                                              



04/03/2008
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