Un Halbreich de poésies

Un Halbreich de poésies

Le pacte

Dans un parc

Aux contours imprécis

A la tombée du jour

Peut-être

Aux premiers espoirs de l'aube

Sinon

Fut conclu

Dans l'anonymat du silence voisin

Un pacte

Trop grandes

de sombres oreilles

Furent tranchées

Et émincées

Il était fait état

De certaines planètes

La lune était concernée

L'issue d'une date

Etait mentionnée

Un lien

Le jardin des larmes rougies

Des formes

Aux pudeurs déchirées

Finissaient de s'essouffler

Dans la chambre douze bis

Dans un arbre

Trois passereaux

Qui sifflaient

Une indolente plénitude

Sur le sentier

Qui mène vers l'école impériale

Une silhouette

Sans doûte ensanglantée

Par la pluie de nos mémoires

La lueur décroît sensible

Etait-ce moi qui passais

 

 

 



19/01/2007
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