Un Halbreich de poésies

Un Halbreich de poésies

La liberté la vie la mort

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

La liberté la vie la mort

Cet oiseau pressé

Qui s'envolait tendrement

Vers de sombres dédales

Le plumage scintillant

 

Le soleil qui pleurait de tristes fleurs

Servait sa route

Quand il battait de l'aile

Légères comme des plumes

La vie la mort la liberté

N'étaient qu'un silence

 

Finalement

Oiseau sans plumes

Il avait deux tètes

Mais n'avait qu'une aile

Et tournait en rond

 

 



04/03/2008
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