Un Halbreich de poésies

Un Halbreich de poésies

Je passe

Innocent comme la vigne blanche

Je suis une ligne qui penche

Les chambres lourdes du silence

Infinitif je passe

 

La neige a recouvert l'espace

Comme elle je m'étends sur l'étang

Sur les repaires de mes pairs

Inféodé je passe

 

Crise de lune véritable

Qu'on emporte loin des étables

D'un rayon d'un seuil d'une main

Stationnaire je passe

 

Loin de la ville qui se consume

Martèle un vent universel

Ensoleillé tremble l'amour

Comme l'enfant je passe

 

avions-temps-reel.jpg

 

 



29/05/2015
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