Un Halbreich de poésies

Un Halbreich de poésies

Jamais plus je ne

Humblement je marche

Comme le ciel se penchait

Humble décimale

Par le ciel qui se penche

 

Mais je rêve et la route

N'a supposément pas

Silhouetté le large

Et délétère tumulte

 

Ah ce silence et Ah

Le long des berges en butte

Là où je m'adossais

Voulais-tu que je marche

 

Tout Venise à l'envi

Qui s'épanouissait

Mais je marche comme ta main 

Qui s'évanouissait

 

On me reproche de dire

Alambiqués des mots

Alors que je conjugue

De ton oreille le lobe

 

Mais ta main elle le sait

Qui s'évanouissait

Dans ma main abricot

Fondu et confiture

 

Supposément sucrée

Que jamais plus je ne

Oh pire que ça jamais

Non jamais plus je ne

 

Mais je marche comme ta main

 

 

 

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25/05/2015
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