Un Halbreich de poésies

Il fit cette chose

Il embellit en mourant

Une vigne musicale

En extase la beauté

Une cité

Lorsque Néron brûla Rome

Naquit entre le dieu Jupiter

Et l'empereur musicien

Une fellation cérébrale

La succion du cerveau de Néron

Par Jupiter fit naître de cette

Impudeur encéphalique un sourire

Absolu à cet être absolu

A l'instant emblématique Néron

Ejacula une énorme gerbe de feu

Le regard tourné vers la cité

Des Césars

Ainsi vint le jaillissement

Purificateur

Qui libéra les colines

De leur gangrène

Puis ce bonheur furtif oublié

Dans un mouvement de colère

Voyant sa ville détruite

Il fit décapiter tous ses généraux

Empoisonna sa Mère

Et brûla sa lyre